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Résumé Fabrice, Emilie, Marius et Noé forment une famille parisienne heureuse et confortablement logée dans le 6ème arrondissement, à proximité des jardins du Luxembourg mais aussi des tentes de migrants qui jalonnent les trottoirs ; cela les interpelle. "On pourrait en héberger un, non ? Ils sont des milliers dehors ! " Ce cri des enfants libère une chambre et, par le biais du Samu social, la famille accueille Reza, un jeune afghan lancé malgré lui sur les routes depuis dix ans. Débute alors une cohabitation bienveillante et parfois cocasse, qui permet à deux cultures et cinq humains de s'apprivoiser. Un beau témoignage de solidarité

Dans les ruelles de Kyoto se trouve le petit restaurant des Kamogawa d'où s'élèvent d'exquises odeurs. En plus de savoureux repas, Nagare et sa fille Koishi proposent une expérience : reproduire un plat que leurs clients ont en mémoire, mais dont la recette est depuis longtemps oubliée. Pour chaque nouveau plat, la famille Kamogawa enquête et propose à ses convives de déguster les délicieux mets qui ont marqué leur vie. Et grâce à un soupçon de magie, ces saveurs perdues enfin retrouvées permettent de rêver à de nouveaux départs. Portées par une atmosphère qui mêle nostalgie et douveur, six tranches de vie inoubliables pour tous les gourmands et amoureux de la gastronomie.

Champagne, 1382. Alors que Jacques de Charny espérait œtre accueilli chez lui à bras ouverts, après six années de croisade, il se heurte à l'hostilité de tous. Sa mère, l'évœque et sa promise lui ont tourné le dos pendant son absence. Mais la visite inattendue d'un jeune seigneur va s'avérer providentielle pour Jacques... Un grand roman d'aventure où la passion, l'audace et l'amitié triomphent de la mort et du déshonneur !

Pour échapper au STO, Camille et Augustin sautent du train et se réfugient dans la ferme de Samuel et sa mère, qui les aident à se cacher dans le maquis. Vingt-cinq ans plus tard, les deux amis décident d'aller retrouver cet homme qui leur a sauvé la vie : mais il a disparu ! Quand les gendarmes leur apprennent finalement qu'il a été retrouvé mort, la fille d'Augustin, Martine, s'effondre : comment le connaît-elle ? Martine tournera la page d'une histoire commencée par son père vingt-cinq ans plus tôt... édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE.

Résumé : Le commissaire Morgeon souhaite se reposer dans sa maison ardéchoise de Passe-Renard, près des Arjevels. Après avoir été violée, Florette, une adolescente du village, se suicide en se jetant du haut d'un rocher face au hameau de Malmort. Au même moment, un truand souhaite éloigner ses deux filles de son comparse et de Xéna, sa maîtresse. ©Electre 2016 Quatrième de couverture : Basé en Ardèche, dès qu'il le peut, Morgeon va se ressourcer dans sa maison de Passe-Renard, tout près des Arjevels où vit son amie Éva. Florette, une adolescente du village, s'est suicidée après un viol, en se jetant du haut d'un rocher, face au hameau de la Malmort. Son frère Bartélémy a juré de la venger... Pendant ce temps, au bord du fleuve, deux petites filles, Rose et Violette, rêvent d'une mamie. Leur père est un truand. Il adore ses filles et après un dernier casse, il voudrait les mettre en sécurité, loin de son « associé » et de Xéna, sa maîtresse, femme calculatrice et cruelle... Morgeon qui voudrait bien retrouver la trace de Romain, le beau-fils disparu de sa douce Éva, fait une étrange découverte. Le jeune homme avait un camarade d'enfance, qui se trouve être Barthélémy, que le commissaire interroge en vain...

Un avis de recherche collé sous un abribus va bouleverser la vie de Nathan. Gavril, le vieil homme disparu, a sauvé son enfance de l'ennui et de la solitude auprès d'une mère taciturne en l'entraînant dans les rues de Paris et en l'enchantant de poésie et de fantaisie. Trente ans plus tard, Nathan mène une vie fade et morose que ce soudain rappel à l'enfance et aux silences maternels fait éclater. Lui qui n'a jamais voyagé se rend en Roumanie dont il ignorait que Gavril y avait vécu les drames de la guerre puis les grandes purges de l'après-guerre. Ce voyage vers l'ami saltimbanque rescapé de terribles épreuves mais qui avait su garder une magnifique ardeur à vivre, va l'ouvrir à une pleine liberté.

Livre large vision

Nevers, dans la Nièvre, fut pendant deux siècles, l’un des plus grands centres faïenciers français. Les premières faïences fabriquées dans la ville datent du xvie siècle. Dalègre, Nivernais affable et bon vivant, rencontre par hasard à Paris un de ses anciens camarades de collège, Gardilanne, taciturne collectionneur de faïences. Sa passion est telle qu’il demande à son ami de retour dans la Nièvre d’écumer la région à la recherche de toute pièce susceptible de l’intéresserà Le sympathique Dalègre n’y voit d’abord aucune malice et se met pour son ami en quête d’une collection dont le summum demeure un rarissime et introuvable violon.

Quand Jean arrive à la ferme des Grandes combes pour louer ses services, il doit faire face à deux accueils bien différents : celui méfiant d'Ange Bornillon, l'autoritaire maître des lieux, et celui bien agréable de Mathilde, sa séduisante fille, dont il tombe rapidement amoureux. Au fil du temps, Jean se rend indispensable et se fait apprécier, au point que Bornillon lui propose de prendre sa suite. Mais un lourd secret semble empêcher Jean d'être heureux. Le révéler pourrait-il le soulager de ce poids ? Et les âmes des Grandes combes parviendraient-elles à l'aider ?

Samson a fui Bruncliff après un gros scandale. Son retour, des années plus tard, n'est pas tout à fait au goût de tout le monde. Surtout lorsque l'agence de détective qu'il vient de créer porte les mêmes initiales que l'agence matrimoniale de Deliah, que cette agence se porte mal et que Samson loue un bureau justement dans les mêmes locaux. Mais lorsque la femme du boucher réclame une enquête sur la mort de son fils, Deliah et Samson vont devoir travailler ensemble...

Au temps de la Grande Guerre, le récit de la vie de quelques villageoises de Sérigny, gardiennes veillant sur le troupeau, la terre et le logis. Propriétaire terrienne, Hortense Misanger, 58 ans, s'occupe de son exploitation, aidée par une employée de la ville voisine, Francine, fille de l'assistance, qui devient témoin de bien des aventures. ©Electre 2015 Quatrième de couverture : Durant la Grande Guerre 14-18, les femmes ont pris la relève des hommes partis au front, travaillant sans relâche pour que leurs maisons, leurs terres, leur pays ne s'effondrent pas. Dans le village de Sérigny, dans une région de marais boisés, les épouses, soeurs ou mères de soldats, secondées par les hommes les plus jeunes ou au contraire les plus âgés, veillent sur les troupeaux, la terre et les fermes. La Grande Hortense, la cinquantaine bien sonnée, belle femme de haute tenue encore, forte, volontaire, intransigeante, mène les terres de ses fils et beau-fils partis au front d'une main de maître, malmenant parfois sa fille coquette et d'un tempérament plus lymphatique, ainsi que quelques mauvais valets, son petit-fils peu enclin à l'obéissance et à la rigueur du travail, mais aussi son mari, le père Claude, épuisé à soixante ans par une vie laborieuse...

Au temps de la Grande Guerre, le récit de la vie de quelques villageoises de Sérigny, gardiennes veillant sur le troupeau, la terre et le logis. Propriétaire terrienne, Hortense Misanger, 58 ans, s'occupe de son exploitation, aidée par une employée de la ville voisine, Francine, fille de l'assistance, qui devient témoin de bien des aventures. ©Electre 2015 Quatrième de couverture : Durant la Grande Guerre 14-18, les femmes ont pris la relève des hommes partis au front, travaillant sans relâche pour que leurs maisons, leurs terres, leur pays ne s'effondrent pas. Dans le village de Sérigny, dans une région de marais boisés, les épouses, soeurs ou mères de soldats, secondées par les hommes les plus jeunes ou au contraire les plus âgés, veillent sur les troupeaux, la terre et les fermes. La Grande Hortense, la cinquantaine bien sonnée, belle femme de haute tenue encore, forte, volontaire, intransigeante, mène les terres de ses fils et beau-fils partis au front d'une main de maître, malmenant parfois sa fille coquette et d'un tempérament plus lymphatique, ainsi que quelques mauvais valets, son petit-fils peu enclin à l'obéissance et à la rigueur du travail, mais aussi son mari, le père Claude, épuisé à soixante ans par une vie laborieuse...

« Profiter de la vieillesse? Est-ce que je n’en profite pas, moi, lorsqu’entre mes mains ravies, un gai luron de quatre kilos vient au monde sans déchirer, sans même érailler sa mère, lorsqu’à soixante-et-onze ans je viens à bout d’un accouchement réputé délicat, qui se dénoue sous mon regard dans la plus invraisemblable simplicité? ... Ah, quand je vois naître un bel enfant, je sais bien alors que je suis une femme, et je suis heureuse à soulever la mer. » Une vie consacrée à faire naître à domicile des centaines de bébés, à soutenir les mères, les épauler, avec empathie, patience, compétence... C’est la vie de Marie-Noëlle Bat, qui a exercé son métier de sage-femme d’un coin à l’autre de l’Ardèche et même au-delà, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit... Surtout de la nuit... Toujours disponible, sans jamais renoncer, sans jamais se lasser.

« Profiter de la vieillesse? Est-ce que je n’en profite pas, moi, lorsqu’entre mes mains ravies, un gai luron de quatre kilos vient au monde sans déchirer, sans même érailler sa mère, lorsqu’à soixante-et-onze ans je viens à bout d’un accouchement réputé délicat, qui se dénoue sous mon regard dans la plus invraisemblable simplicité? ... Ah, quand je vois naître un bel enfant, je sais bien alors que je suis une femme, et je suis heureuse à soulever la mer. » Une vie consacrée à faire naître à domicile des centaines de bébés, à soutenir les mères, les épauler, avec empathie, patience, compétence... C’est la vie de Marie-Noëlle Bat, qui a exercé son métier de sage-femme d’un coin à l’autre de l’Ardèche et même au-delà, à n’importe quelle heure du jour et de la nuit... Surtout de la nuit... Toujours disponible, sans jamais renoncer, sans jamais se lasser.

Mexico, Nouvelle-Espagne, XVIIe siècle. Au couvent de San Jeronimo, religieuses et servantes sont retrouvées sacrifiées sur l'autel selon des rituels précolombiens. Alina, jeune novice insolente et rebelle, vient de prendre le voile. Au côté de Matea, sa fidèle domestique indigène, la voilà qui s'allie à soeur Juana, excentrique femme de lettres, pour trouver le coupable. Entre prières, lectures, leçons de cuisine et chocolats chauds, le trio mène l'enquête. Mais dehors, l'Inquisition est déjà en chemin et compte bien couper le mal à la racine...

1919, en Lorraine. Quand Henri, employé à la brasserie de Vézelise, annonce son désir d'épouser Marguerite, la réaction hostile de son oncle Charles surprend tout le monde. Que Marguerite soit un peu plus âgée que lui ne saurait constituer un obstacle sérieux à la réussite de leur couple. Henri est né de père inconnu et sa mère, Marie-Victoire, sour de Charles, est morte alors qu'il avait quatre ans. Plus encore que sa grand-mère, c'est Charles qui l'a élevé avec un amour paternel. Pourquoi s'oppose-t-il soudain à son bonheur ? Cette question lancinante ne trouvera de réponse que bien des années après, lorsque Henri découvrira les circonstances de sa naissance dans le journal intime de sa mère, petite couturière entreprenante et courageuse, prise au piège de sa sincérité et victime de l'opprobre dont les filles mères étaient accablées en ce temps-là.

"Placé dans un orphelinat à sa naissance, Paul ne sait rien de ses origines. Son seul indice est l'étrange marque qu'il porte dans le bas du dos. à l'âge adulte, devenu pilote, il mène une existence sans attaches. Lorsqu'il reconnaît la mystérieuse marque sur le dossier d'un grand généticien, Paul s'élance à la recherche des pièces manquantes de son histoire. Du Brésil à la Tanzanie, de la Haute-Provence au monastère de la Grande Chartreuse, il tente de résoudre l'énigme de sa naissance. Elle s'annonce vertigineuse. édition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. "

" Ce jour-là, j'ai compris que les anciens, il suffit de les toucher, de leur prendre la main pour qu'ils racontent. Comme quand on creuse un trou dans le sable sec au bord de la mer, l'eau remonte systématiquement sous les doigts. " Justine, vingt et un ans, aime les personnes âgées comme d'autres les contes. Hélène, presque cinq fois son âge, a toujours rêvé d'apprendre à lire. Ces deux femmes se parlent, s'écoutent, se révèlent l'une à l'autre jusqu'au jour où un mystérieux " corbeau " sème le trouble dans la maison de retraite qui abrite leurs confidences et dévoile un secret. A la fois drôle et mélancolique, Les Oubliés du dimanche est un roman d'amours passées, présentes, inavouéesà éblouissantes.